Le coup d’Etat en Bolivie est comparable au coup du 1973 au Chile
Julio Gambina, président de SEPLA, analyse le coup d'État en Bolivie dans une interview pour RT: ;hl=fr&cc_load_policy=1
La Société d’Économie Politique et de Pensée Critique de l’Amérique Latine (SEPLA) condamne catégoriquement le coup d’État en Bolivie
Face à la résistance contre le néolibéralisme et le capitalisme dans Notre Amérique, un coup honteux a culminé aujourd'hui contre le gouvernement du président Evo Morales et de son vice-président Álvaro García Linera, réélu démocratiquement au premier tour, au vote majoritaire du peuple bolivien. Avec le soutien du principal candidat défait, Carlos Mesa, avec le soutien des États-Unis, avec le soutien des gouvernements des escrocs de droite dans la région et avec le soutien de l'OEA, une vague de violence a été déclenchée, une mobilisation et des menaces qui se sont manifestées hier avec l'incendie chantagiste des maisons de parents des composantes du gouvernement et avec la menace de l'armée bolivienne de procéder à un coup d'État classique. Face à la violence ouverte, le président Evo Morales et ses compagnons ont décidé de démissionner de la présidence afin de garantir la sécurité de la population et de dénoncer ouvertement le coup d'État. La Bolivie est confrontée à une guerre non conventionnelle, qui fait partie du nouveau corollaire de la politique étrangère des États-Unis d'Amérique à ce stade de l'offensive ouverte des classes dirigeantes envers les peuples du monde. Le coup d'État en Bolivie est capitaliste, raciste, misogyne et xénophobe. Ces…
Déclaration SEPLA avant le 8 mars
SEPLA - COMUNICADO 8M QUE VIVA LA LUCHA DE LAS MUJERES!!! En este 8 de Marzo, la Sociedad Latinoamericana de Economía Política y Pensamiento Crítico (SEPLA) viene sumarse a la lucha de todas las mujeres por el fin de la división sexual del trabajo basada en la explotación del trabajo femenino y por el fin de la violencia contra nuestros cuerpos y nuestras vidas. El capitalismo es racista y patriarcal. Las inmensas cantidades de trabajo necesarias cotidianamente a la reproducción de nuestras vidas pero no mercantilizadas son esenciales a la reproducción capitalista y son realizadas alrededor del orbe mayoritariamente por mujeres. Somos las mujeres las responsables por cocinar, cuidar lxs niños y ancianxs, arreglar la casa. En Nuestra América, las mujeres destinamos al trabajo no remunerado un promedio de 37 horas semanales, mientras que los varones sólo 13 horas (CEPAL, Observatorio de igualdad de género). De no ser mercantilizado, este trabajo no entra a la formación del valor de la fuerza de trabajo en general, aunque sea esencial para reproducirla. La explotación del trabajo doméstico femenino es esencial a la reproducción capitalista. A la vez, de no ser siempre mercantilizado, el cuidado y el femenino crean prácticas solidarias y comunitarias…